FreeLanceRepublik, la plateforme qui redonne le pouvoir aux freelances !

Publié le 02/07/2016 14:00 | Mis à jour le 24/11/2023 17:37 | 6 min de lecture

En quête de liberté et d’indépendance, de plus en plus de salariés optent pour le statut d’auto-entrepreneur ou de freelance .Si la souplesse en termes d’organisation de temps et d’actions semble indéniable, la rentabilité et la qualité des missions ne suivent pas toujours  FreelanceRepublik entend inverser cette tendance en mettant en relation les meilleurs freelances avec les entreprises proposant des projets en adéquation avec leurs profils. Le tout grâce à une structure complètement digitalisée.

Freelance-FreeLanceRepublik Freelance-FreeLanceRepublik Logo Nous avons rencontré Robin Lepercq, co-fondateur de la plateforme, qui nous a confié son point de vue sur les problématiques et les enjeux du freelancing.

Pouvez-vous nous expliquer le concept FreelanceRepublik en quelques mots ?

Nous sommes partis d’un constat :  les entreprises qui cherchaient des indépendants sur internet accédaient à des sites sur lesquels elle obtenaient des pages de résultats sans parvenir à déterminer les bons prestataires ou les bonnes ressources disponibles.

De la même façon, les indépendants se trouvent souvent harcelés par des cabinets, des chasseurs de têtes pour des missions pas toujours adaptées, à des moments opportuns ou sur des technologies qui ne leur correspondent pas.

L’idée de FreelanceRepublik, est de proposer une solution pour répondre à ces 2 problématiques.

Comment sélectionnez-vous les Freelances ? Quels sont vos critères ?

Nous sommes en relation avec des leaders de communauté, le bouche à oreilles fonctionne très bien et les freelances se recommandent et conseillent des profils similaires.

Les indépendants s’inscrivent sur la plateforme mais on ne peut les solliciter que s’ils déclarent être disponibles. Pour être sélectionnés, les profils sont soumis à une évaluation.

Les équipes de FreelanceRepublik font un screening du cv puis contactent les candidats pour plus de détails. Lors des entretiens nous interrogeons les candidats sur leur parcours, le temps passé dans les missions, leur expérience.

Ensuite nous opérons une prise de référence et nous soumettons les candidats à des tests techniques. Notre ambition est d’automatiser une partie de ce processus de sélection. Après ces étapes, nous décidons si le profil est digne de figurer dans le pool de la plateforme visible par les clients.

Et côté entreprise, comment cela se passe-t-il ?

Les clients prennent contact avec nous et nous leur proposons les profils présélectionnés et disponibles qui correspondent à leur recherche. A terme (fin 2016) ces profils seront accessibles directement sur la plateforme.

Est-ce payant pour les offreurs et les demandeurs ?

Ce n’est jamais payant pour les freelances. Quant aux entreprises, elles ne paient que si elles décident de retenir un profil. Il y a un aspect essentiel dans notre offre : un pricing agressif et totalement transparent. Dans le fonctionnement classique, il n’est pas rare en effet qu’un freelance ignore combien il est vendu au client final. Nous pensons qu’il convient d’être complètement transparents sur notre rémunération et celles de l’indépendant. Nous souhaitons proposer un système plus homogène et plus transparent.

Comment ça se passe contractuellement ?

Lorsque le client fait travailler le freelance, un contrat tripartite est signé entre le candidat, le client et FreelanceRepublik. Nous prenons en charge la logistique contractuelle au travers de quatre éléments :

  • Les vérifications légales (assurance, Urssaf, Tva…),
  • Le suivi de la mission (par le biais de comptes rendus d’activité). Ce document est important car dans 90% des cas, les freelances se facturent sur la base d’un Taux Journalier Moyen (TJM),
  • La facturation, et le règlement du freelance,
  • Des aspects essentiels liés à la protection de la propriété intellectuelle, ainsi qu’à la protection des intérêts des parties (nous écartons notamment les risques de requalification du contrat ou le délit de marchandage).

Au travers du contrat, l’ensemble des contingences juridiques sont levées, tant du côté du freelance que de celui du client.

D’où vient l’intérêt que vous portez au secteur Tech ? Est-ce la demande la plus importante en terme de freelances ?

Le secteur de l’IT est un des secteurs où le taux de freelance est le plus élevé. La culture du freelance y est déjà installée depuis des années, alors que dans d’autres secteurs ce n’est pas monnaie courante. C’est aussi un métier qu’on connait bien, nous sommes 4 associés provenant de l’univers de l’informatique.

Cependant, nous n’adressons pas l’ensemble des métiers du secteur. Ainsi, même si des profils de graphistes ou de traducteurs  viennent s’inscrire par exemple, nous nous concentrons sur les métiers du développement web et de la gestion de projet.

Quels sont les avantages à choisir le statut de freelance ?

Le freelance est généralement mieux rémunéré qu’un CDI.  Le tarif moyen est de 500€/ jour, et la plupart des freelances augmentent en général leur rémunération de 30% par rapport à un emploi salarié.

Mais les freelances sont avant tout attachés à leur indépendance, à la qualité des challenges techniques rencontrés, et restent ainsi au fait des évolutions technologiques. Par opposition, de nombreux salariés finissent par perdre pied techniquement lorsqu’ils ne varient pas suffisamment leurs domaines d’intervention.

C’est aussi une tendance sociétale de fond : il est possible d’organiser son temps autrement, de travailler de chez soi, tout en changeant régulièrement d’environnement professionnel.

Selon une statistique récente, la part des freelancing dans l’emploi global avoisinera les 50% à l’horizon 2030. Ce phénomène affectera évidemment le secteur de l’IT mais son retentissement pourrait concerner bien d’autres métiers au-delà du secteur tertiaire.

Proposez-vous également aux freelances des missions de travail en équipe ?

Les missions se font généralement en régie, c’est-à-dire sur site chez les clients,  à la différence près que les freelances ne sont pas rattachés hiérarchiquement à leur « employeur ». Ils intègrent des équipes techniques, en lien avec d’autres experts ainsi qu’avec l’ensemble des autres services fonctionnels de l’entreprise.

Les freelances sont-ils sensibilisés aux risques que comportent leur activité ?

Il est important que les freelances soient couverts dans le cadre de leur responsabilité civile professionnelle. Nous disposons nous-mêmes d’une assurance en la matière de manière à délimiter parfaitement les risques tant du côté du client que de celui du freelance, on voit bien que la qualité de la documentation contractuelle est capitale.  FreelanceRepublik a beaucoup travaillé dans ce sens.

Quels conseils donneriez-vous à quelqu’un qui souhaite se lancer dans une aventure en freelance ?

Pour se lancer en tant que freelance, il faut d’abord choisir un métier qu’on connait parfaitement et ne pas essayer de prétendre proposer une solution à tous les problèmes. Un freelance a souvent touché à de nombreuses technologies au sein desquelles il doit identifier celle qui apportera la plus forte valeur ajoutée à ses clients afin de la mettre en avant et de signer des contrats.

Il faut de l’énergie et savoir bien s’entourer, car la qualité de la mission est au moins aussi importante que celle de la rémunération.

S’inscrire sur FreelanceRepublik est un excellent test en terme de positionnement.

Finalement, qu’est ce qui fait la différence entre FreelanceRepublik et les autres plateformes de recrutement de freelance sur le marché ?

Notre axe stratégique est basé sur la présélection des profils à l’amont. Couplé à un positionnement prix très agressif il est l’assurance pour nos clients de trouver la meilleure compétence le plus rapidement possible et au meilleur prix.  

 

Merci à Robin pour son témoignage ! Vous souhaitez vous lancer dans l’aventure freelance ? Rejoignez FreelanceRepublik !